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Nous ne prenons pas les journaux de production au sérieux, n’est-ce pas ?

Keerthika
Lead Marketing Strategist

An INFJ personality wielding brevity in speech and writing.

Toutes les activités qui se déroulent dans les environnements de production sont consignées dans un journal. Ces journaux contiennent des informations sur les événements, les transactions, les erreurs, le trafic réseau, etc.

Mais nous ne les prenons pas au sérieux, surtout dans un environnement de production à fort trafic.

Nous disposons d’outils pour analyser les journaux de production et de nombreuses entreprises utilisent les données dérivées des journaux à des fins décisionnelles, c’est-à-dire que les journaux leur permettent de prendre des décisions en analysant les tendances passées de la production.

En fait, il leur propose une décision fondée sur la valeur.

Mais pourquoi ne pas lier les grumes à la qualité ? Il donne des indications sur la qualité du logiciel en cours d’élaboration qui passent généralement inaperçues.

Les scénarios d’exception doivent être introduits dans le journal lorsque le système se heurte à des cas limites, et les réponses doivent être enregistrées.

L’écriture de codes fantastiques n’offrirait aucune valeur sanitaire s’ils se heurtent sans cesse à des cas limites, ce qui, en soi, en dit long sur la santé du code.

Horus, une plateforme de gestion de l’ingénierie, encourage les entreprises à adopter un point de vue différent sur les journaux de production en les reliant à l’assurance qualité.

Les données en temps réel de l’environnement de production sont mesurées, analysées et utilisées pour prendre des décisions de qualité.

A suivre…

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